Autour de "Fils de novembre"




Nouveau recueil publié en 2020






Retours sur Fils de novembre




Le beau livre de Françoise Ruban, Fils de Novembre... je vous le recommande...
Patrick O




J'ai déjà commencé à lire ce beau recueil de poèmes et à prendre mon temps pour le savourer, car il est riche et beau, et je suis vraiment sous le charme de ton écriture et de ces rythmes qui nous parlent d'un temps d'amour et de Printemps à retrouver !!!
A bientôt, des bises

JLG




Bonjour Françoise, j'ai lu votre recueil.Un livre où les mots sont posés avec précision et délicatesse, un livre où l'absence y est paradoxalement très présente. Certains d'ailleurs de vos poèmes m'ont évoqué cette phrase de Camille Claudel "Il y a toujours quelque chose d'absent qui me tourmente" .Le fil y est déroulé. Evidemment, il s'est parfois emmêlé, mais il est assez solide pour ne jamais avoir été rompu.
Voilà, je ne suis pas auteur mais simple lectrice ! Bonne journée Françoise !

DPL


Cela est est un vrai bonheur de découvrir ton recueil de poèmes Francoise, c'est effectivement comme tu le dis une "fenêtre ouverte", et sur tous tes poèmes des dizaines de "fenêtres ouvertes" sur le monde, ton monde intérieur, et le monde tel que tu le vis, tel que tu l'as vécu et tel que tu voudrais le vivre. C’est un paysage de peintre, car tu es peintre et poète, en livrant une sorte de patchwork de tableaux de dizaines et de dizaines d’Haïkus (traditionnels et cachés aussi dans tous tes poèmes) qui montrent ce monde merveilleux, ce monde de la Nature, et ce monde intérieur des souvenirs, toujours si présents : un passé-présent recomposé!
Et puis il y a cet amour qui parcourt tout le recueil, amour que tu sais décliner comme une ballade lancinante et que tu nous faire vivre avec toi. La Nature est un présent quasi intemporel, un monde merveilleux d'impressions que l’on découvre comme la jeune Colette dans les alentours de la maison de Sido; c’est aussi "comprendre", c'est se comprendre, s'ajouter et se détacher aussi !
La citation de Giono m'a particulièrement touché, moi qui l'adore, et elle est essentielle dans ce livre, balancé entre le monde verlainien et le monde tragique que l’on vit : "vivre c'est survivre à un enfant mort." Et cet enfant de Bodrum que tu évoques, c'est nous aussi sur la plage!
Dans ce recueil témoignage, tu nous parles aussi d’indépendance et de liberté, et il se clôt, en référence sans doute à l’Homme Révolté de Camus, par un « Non ». Tout le contraire d’une négation, car loin des moutons hargneux des réseaux sociaux et des modes, tu traces un chemin libre et poétique.

Jean-Louis


Étant un fils de Novembre (né le 23) le livre m'a immédiatement parlé! Chanté même ????
Je t'embrasse et te remercie pour ta générosité envers la Vie ..

SK



Ma chère Françoise,

Comment te remercier de ce recueil que tu m'as adressé; lequel, aux bons soins de l'intendance des postes belges, a su se faire désirer.

Mais cette attente a été bien récompensée par la lecture de ce petit bijou de sensibilité poétique, où j'ai pu apprécier ta belle maîtrise.

En matière d'Art, la poésie est un Art royal. En ce sens que, tel un Lévite dans le Temple, gardien de l'Arche, le poète va orchestrer le rite avec une telle rigueur, une telle simplicité, et une telle pudeur qu'elle est la marque du talent, .

Quoi de plus beau et touchant à l'essentiel que ce peintre, qui d'un seul trait de crayon dessine un oiseau, dans la majesté de son envol, pour dire l'essentialité d'un message

Ma chère Françoise, tu fais exactement cela. Tu écris à main levée d'un seul trait, sans ornementations superfétatoires et prétentieuses, sans artifices d'illusionniste, mais avec juste ce qu'il faut de densité pour atteindre le cœur de ton lecteur ou de ta lectrice.

Je suis très impressionné par cette œuvre qui relève, pour mes yeux d'infidèle, de la cérémonie, avec son introït, son kyrie et son sanctus pour un Requiem en poésie majeure.

J'ai été, entre autres, ému, jusques aux larmes, à la lecture de Volga.

Tu as l'étoffe d'une grande poétesse, mais cela je l'avais deviné, il y a un bon bout de temps. Et la confirmation tu l'apportes ici et maintenant.

Je ne peux terminer cet humble commentaire d'un lecteur enchanté sans féliciter la qualité éditoriale. J'aimerais que tu le dises à Véronique et que tu la remercies pour moi de ce magnifique travail.

Je t'embrasse avec respect et grande tendresse

Ton vieux cachalot

Cristian


Françoise
J'ai revu tes si beaux poèmes qui s'adressent à  ton étoile ton fils Fabrice, tu écris comme une  reine.
J'aime particulièrement.
Dérive n'est pas naufrage.
Et puis tu parles aussi de ce petit réfugié.
Petit d'homme.
Ou "Quand pointe l'Équinoxe...et
"Un Vœu." 
Bravo pour ta poésie  versifiée. Les mots sont si bien, précis, choisis comme si on jouait merveilleusement bien sur un piano ou une guitare pour certains poèmes.
Pour les citations,sont ce elles qui t'ont inspiré  la poésie   ou le contraire ou bien les deux.?
Bisous..
Iréne C

                                                       ****




Cela est est un vrai bonheur de découvrir ton recueil de poèmes Francoise, c'est effectivement comme tu le dis une "fenêtre ouverte", et sur tous tes poèmes des dizaines de "fenêtres ouvertes" sur le monde, ton monde intérieur, et le monde tel que tu le vis, tel que tu l'as vécu et tel que tu voudrais le vivre. C’est un paysage de peintre, car tu es peintre et poète, en livrant une sorte de patchwork de tableaux de dizaines et de dizaines d’Haïkus (traditionnels et cachés aussi dans tous tes poèmes) qui montrent ce monde merveilleux, ce monde de la Nature, et ce monde intérieur des souvenirs, toujours si présents : un passé-présent recomposé!
Et puis il y a cet amour qui parcourt tout le recueil, amour que tu sais décliner comme une ballade lancinante et que tu nous faire vivre avec toi. La Nature est un présent quasi intemporel, un monde merveilleux d'impressions que l’on découvre comme la jeune Colette dans les alentours de la maison de Sido; c’est aussi "comprendre", c'est se comprendre, s'ajouter et se détacher aussi !
La citation de Giono m'a particulièrement touché, moi qui l'adore, et elle est essentielle dans ce livre, balancé entre le monde verlainien et le monde tragique que l’on vit : "vivre c'est survivre à un enfant mort." Et cet enfant de Bodrum que tu évoques, c'est nous aussi sur la plage!
Dans ce recueil témoignage, tu nous parles aussi d’indépendance et de liberté, et il se clôt, en référence sans doute à l’Homme Révolté de Camus, par un « Non ». Tout le contraire d’une négation, car loin des moutons hargneux des réseaux sociaux et des modes, tu traces un chemin libre et poétique.

JLG (Jean-Louis)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire