Sites intéressants

    Patrick Ochs

Son site 


"Sans regarder…. Mais des images bien imprimées sur la rétine… Il avance sur les routes de la Chine au Moyen- Orient de Brest jusqu’à la Russie en passant par les Yvelines ou la Bulgarie... Il raconte et photographie ça dans des journaux et publie ses carnets de route. Il est le chanteur de Rue de la Muette c'est-à-dire qu’il chante des histoires pleines de musiques. 7 albums remplis de chansons à penser ou à danser ! En avril 2016 un ouvrage de photos et de témoignages collectés autour de l’apprentissage : Paroles d’apprentis En 2013, il invente un spectacle « chansons et histoires du Grand Cirque » : un récit musical ou il raconte et photographie des acrobates, des filles aux éléphants des dompteurs mélancolique qui parlent à leurs lions fatigués, des gares de triages, des cimetières de trains qui emmènent leurs cargaisons de voyageurs vers des destinations de rêves ou de cauchemars. De drôles de voyages Pas la peine d’insister ! Ce sont des images qu’il a photographiées sans regarder. C’est le nom de cette série Patrick Ochs trace sa route et photographie depuis toujours un monde étonnant et magnifique qu’il raconte…"



Rémi Karnauch




« Il suffit parfois d'une voix, parfois même d'un souffle, pour que le charisme d'un homme vous saute aussitôt aux oreilles et ne vous lâche plus ; Patrick Ochs, chanteur de Rue de la Muette, dégage ce charme-là, envoûtement puissant tout en coups et en bosses ; hauts et bas vertigineux d'un timbre écorché aux profondeurs aspirantes. Ses chants d'amour plus ou moins désespérés et ses coups de gueule de déçu révolté nous entraînent dans leurs valses un peu folles et toujours libérées. Car ici, l'accordéon n'est ni musette ni vraiment réaliste, il devient presque rock,fait écho aux clarinettes tsiganes ..."                                         

Valérie Lehoux - Télérama n°3047


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Le site d'Alexandre Laborie

Fragments - Alexandre LABORIE


« Je ne peux donner de moi, de mon moi tout entier, nul autre échantillon, qu’un système de fragments, parce que je suis moi-même quelque chose de semblable. » Frédéric Schlegel

 "Passionné de poésie classique et contemporaine, auteur de chansons et de poésies. A de nombreuses reprises, j’ai collaboré avec France musique : participation à une composition littéraire originale de 4 cycles poétiques sur le thème de « la vie » à partir de l’oeuvre 'MLÀDI' du compositeur Leos JANACEK puis lecture de certains de mes textes dans le cadre de l’émission « les contes du jour et de la nuit » de Véronique SAUGER. J’aime travailler avec des artistes aux univers très différents. Avec les musiciens Lucas Mazeres et Guillaume Itié de la « Compagnie Écoutez Voir », j’ai ainsi participé à la création de « la Planète blanche », conte musical dont j’ai écrit le livret. J’ai publié un recueil de poésies en 2010 (L’Evidence - éditions PREtexte). Certains de mes textes ont également l’objet de publications diverses (revue de poésies, ouvrages collectifs des éditions « Epingle à nourrice »). Bienvenue à toutes et tous sur ce blog!" A.Laborie


http://laborie.fragments.over-blog.com/ 

Fragments - Alexandre LABORIE





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L'oeil de la méduse, artiste plasticienne

Danielle Péan Leroux

https://oeildelameduse.wordpress.com/?fbclid=IwAR0TvH73HVXjLEmDw5ZRtchm6EITYCUBwFf-ss6sLpGemvZVj6vvjOZafWM 



À propos
C’est un vrai cheminement, assez cohérent cependant , qui m’a conduit à publier des livres d’artistes, que ce soit au sein de CMJN-éditions, maison d’édition associative dont je suis la co-éditrice, que pour ces éditions l’œil de la méduse où je publie mon propre travail  au grès de rencontres avec des auteurs dont j’apprécie particulièrement les écrits.

Dans mon parcours artistique, très orienté textile dans un premier temps, j’ai privilégié la gravure comme expression plastique. La finesse du trait d’une pointe sèche répondait assez bien à ma volonté de travailler sur le fil. Et la gravure étant, par essence même, un multiple, le livre d’artiste devint assez vite une évidence.

La naissance d’un livre d’artiste c’est avant tout une rencontre, entre les mots d’un poète et mon univers. C’est parfois une fulgurance, une phrase que la rétine a captée, inattendue ; un texte qui vous chamboule. Plus on le lit, ce texte, et plus il vous paraît comme une évidence. Vient ensuite la rencontre avec la feuille blanche, cet espace intime, là où l’émotion nous emportera. Laisser la ligne surgir telle une écriture étrangère, comme un écho à la poésie, sans en comprendre vraiment le sens. L’apprivoiser, pour être enfin apaisée…l’apprivoiser tout en la laissant évoluer, se transformer, devenir présente, voire tenace, rebelle. Puis l’estomper, presque l’effacer afin de se sentir réconciliée avec soi-même….peut-être.


Danielle Péan Le Roux



Nouvelle collaboration avec  Denis Tellier  , auteur de ce poème « Les grues », accompagné de deux  gravures au sucre de Danielle Péan Le Roux

L’ouvrage a été composé en Lucida de corps 14, sur du vélin BFK de Rives.

L’emboîtage a été réalisé par Danielle Péan Le Roux.
Le tirage est de 10 exemplaires, tous sont signés au colophon par les artistes.


Achevé d’imprimer le 27 janvier 2019 à Vannes, pour les éditions l’œil de la méduse.


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LE TEMPS BLEU

Littérature

http://lintula94.blogspot.com/ 


Walid Alswairki, poète et traducteur, est né en 1967 à Jeftlek en Palestine. Il passe son enfance et sa jeunesse dans un camp de réfugiés palestinien au nord de la Jordanie. On le retrouve plus tard à l'Université de Yarmouk de ce pays, où il étudie la littérature française puis à l'Université de Franche-Comté, où il prépare un diplôme de littérature comparée. Matière qu'il enseigne par la suite, à l'Université de Yarmouk, avant de rejoindre l'ambassade de France à Amman, en tant qu'attaché de presse.
Il a publié un recueil de poèmes, Ailes blanches du désespoir, en 2006.

Je n'ai pas eu l'opportunité de l'entendre mais j'ai beaucoup aimé son Ultime escalier, qui figure dans l'anthologie de Sète.

          Ultime escalier

         Il suffit d'un grand arbre
         Pour que je fixe longuement le soleil

         Il suffit d'une herbe brisée
         Pour que j'avance dans le vent

         Il suffit d'une grande plaine pour que
         L'âme escalade cette montagne

         Il suffit de deux mains amoureuses
         Pour que je descende,
         Paisible comme un ruisseau,
         Le petit escalier de ma mort.

         in Voix vives de méditerranée en méditerranée, Anthologie Sète 2015, éditions Bruno Doucey,
         2015, p.154.

D'une belle fluidité, ce poème reprend les thèmes chers à Mahmoud Darwich et à la poésie arabe en général : l'arbre, l'herbe, le vent, l'eau, l'amour. Survient la chute, bouleversante: il suffit de deux mains amoureuses pour que je descende, paisible comme un ruisseau, le petit escalier de ma mort .
Le lecteur, en suspens sur la marche, est confronté soudain à sa propre mort...Cette trouvaille est la marque d'un grand poète.

Mahmoud Darwich, dans son entretien accordé au Nouvel Observateur, en février 2006, ajoutait :
          La poésie a la fragilité de l'herbe. L'herbe paraît si vulnérable, mais il suffit d'un peu d'eau et 
         d'un rayon de soleil pour qu'elle repousse.

 Bashir Shalash et Walid Alswairki assurent la relève en faisant, tels leur maitre, chanter la beauté dans un pays, où elle a été mutilée, saccagée et où l'on vit en deçà de la vie.
Découvrons-les et faisons-les découvrir.

Bibliographie:
Le lanceur de dés et autres poèmes, Actes Sud 2009
La terre nous est étroite, Poésie/Gallimard 2000
Voix Vives de méditerranée en méditerranée, Anthologie Sète 2015, éditions Bruno Doucey 2015



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Les plaisirs de Marc Page

Littérature


https://lesplaisirsdemarcpage.wordpress.com/ 





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Colette Nys-Mazure, poète


son SITE 

Un poème
Arbres, de Colette Nys-Mazure

Et moi de l'arbre, je tiens l'ancrage en terres anciennes, fanges, pierriers, argiles, limons et craies, strates d'humus odorant. Mes racines forcent schistes et calcaires : doigts puissants, poussant loin leur prise et leur appui, suçant la vie à l'œuvre au noir du magma. Fécondes ténèbres, obscur travail souterrain, gestation. Je dure, et je m'accrois.

Et moi, de l'arbre, à l'assaut du firmament et de l'espace, je lance le jet de mon tronc ligneux, flammes végétales. Je fuse vers les nuages, j'expulse continûment ma sève et ma force. J'éclate en bourgeons, je me couvre de fleurs, de feuilles et de fruits. Prodigue, je me répands, graines à tous vents, pouvoirs éparpillés, source. Je me boise et me déboise, je me fie aux saisons, me soumets aux cycles, sûr du rebond, du regain, du printemps. Je meurs pour rire et m'enchante de mes métamorphoses. Axe immuable dans le tourbillon. Moyeux dans la route folle des planètes, futaie de cocagne, grand mât de misaine, vibrant, jaillissant.

Et moi, de l'arbre, j'ai la charpente vigoureuse, fourches et espaliers. Perchoir d'oiseaux à la hune. Infinie patience, entêtée résistance, sereine vitalité. Mains de platanes, chevelures de saules éperdus, toisons ruisselantes. Trio de bouleaux, mes repères dans le désert des neiges.

Et moi, de l'arbre, j'ose les irréconciliables : imperméable et poreux. Traversé d'air et de soleil, de pluies ; profond, insondable, pesant, j'emprunte ma forme au cierge, au bouquet, parasol et clocher. Voile opaque, aiguille fichée.

Et moi, de l'arbre, je prends ombrage, je recueille fraîcheur et loisir, tendre oisiveté, connivences, siestes amoureuses dans le lent remuement des taches claires, le grésillement d'insectes ivres, la torpeur méridienne, le dard d'abeilles sourdes, les frissons d'ombelles et de papillons, mouches bleues autour des mirabelles. Écorchures de merles. Parfum entêtant des abricots dégorgeant leur trop plein de soleil juteux, peau craquelée, noyau à vif.

Et moi, de l'arbre, j'ai la violence pénétrante, l'intime jouissance.
L'envoûtement autant que la sage connaissance, ouvert au multiple, enraciné dans l'un. La vie, issue de la terre, se resserre un instant dans mon bois pour s'écarquiller plus largement dans le déploiement de l'air et de la lumière.

Nefs et chapelles adjacentes. Temple. Entre ciel, terre et ciel, j'intercède, je plaide, je concilie. Nourri de tous les sucs, cime fastigiée vers la nue. Divinatoire, j'emprunte au sol comme à l'espace le sens et le message. Je hèle les voix, j'enquête et je déduis. Des souffles indiscrets je délivre, j'évente les vœux ; de mes feuilles balbutiantes je déchiffre la lettre cachée. Initié, je bénis et j'apaise. Sacré, je sacre.

Et moi, de l'arbre, j'entérine l'anathème, cri au ciel, branches tendues dans l'émoi du cœur insolent, griffes, éclairs forcenés, brisures, fractures, contusions. J'élargis, j'écartèle.

Et moi, de l'arbre, j'ai l'aspect minéral, défiant le temps et les autans. Arbre renversé, agressé, tête en terre et racines arrachées.Tourmenté, desséché, calciné. Branches amputées, membres disjoints, tronc fendu, creusé, émietté, coupé ras. Je m'obstine. Silhouette foudroyée. Vaste corps pathétique, abandonné aux équarrisseurs.


Et moi, de l'arbre, je porte témoignage. Dans l'odeur de copeaux, de cire, velours d'un accoudoir, d'un angle poli, d'une porte vernissée ; rugueux d'un banc mal raboté, œuf de raccommodeuse. Claies minces croulant sous les pommes, les bocaux de cerises ou de groseilles. J'existe.



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Ann Cantat Corsini

Photographe, Exposition "Respire"

Son site 


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Le site de Roger Knobelspiess

Roger Knobelspiess

                                                    



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Anne-Marie Donaint-Bonave, artiste plasticienne


http://www.donaintbonave.com/internet/index.php?numrubrique=373&nomrubrique=galerie_1


"Dans mon travail, trois éléments ont presque toujours été présents : la terre, l’écriture et surtout le bol. Depuis de nombreuses années, loin de l’usage, le sens symbolique et poétique de cet objet universel retient toute mon attention. Ce fut l’objet de nombreuses séries «L’or de la fêlure», «Constellation du bol», «Effleurée», «Le chemin du bol » ...

Au fil des jours, répété comme une méditation au pinceau, mon dessin épuré du bol a donné naissance à une écriture imaginaire que j’ai nommée la Bolographie.

Comme l’écriture cunéiforme, la Bolographie n’est pas lisible au premier regard, seul mon pinceau connaît le code de cette écriture surgie dans l’atelier. Son décryptage reste ouvert à l’imagination .

Ce travail sur le signe m’a amenée, peu à peu, à m’intéresser aux objets écrits, mais illisibles par moi, en provenance des fouilles du monde entier. En les observant, j’ai commencé à élaborer des formes archétypales, tentative de synthèse de ce que j'observais : cônes, disques, stèles, clous... sur lesquels ma graphie s’inscrit. Des références littéraires m’ont aidée à leur insuffler une dimension poétique (Roberto Juarroz , Victor Ségalen ...) . Ces œuvres ont été dessinées à la pierre noire, peintes à l'encre ou réalisées en terre cuite raku.

Depuis deux ans les séries à l'encre se sont succédé en petits et grands formats : " Gardiens du temps " ( Stèles), et tout dernièrement " Girelles"

En parallèle, je poursuis un travail de livres d'artiste, réalisés seule ou en collaboration avec des écrivains." AM DB


Lire l'entretien sur le littéraire.com

Parfum de femme : entretien avec l’artiste Anne-Marie Donaint-Bonave
par Jean-Paul Gavard-Perret

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Site officiel du poète palestinien Mahmoud Darwich

La poésie en des temps de sauvagerie


in Al-Quds Al-Arabi (quotidien arabe publié à Londres)

du lundi 14 avril 2003

[traduit de l'arabe par Marcel Charbonnier]


Allocution inaugurale prononcée par le poète palestinien Mahmoud Darwich le jeudi 3 avril 2003, lors de la manifestation "Rencontre avec Mahmoud Darwich", à la Cité du Livre d’Aix-en-Provence

Lire ICI
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Valérie Chavane artiste peintre

Son nouveau site

"Ancienne éléve des Beaux de Paris, transforme ses émotions et son regard en une énergie rebelle qu'elle évacue sur ses toiles grands formats dans des gestes spontanés et puissants.

Ou au sein de constructions murales en tissus, que l'artiste transforme en fresque ou en "nid".

Toutes les libertés sont permises dans son travail. Même si la technique et les supports changent. On retrouve toujours la même lecture bouillonnante de son langage personnel "In vivo".

Elle fractionne, noue, dénoue, jette, enlace la matiére dans une mécanique de la forme et de la couleur. Un langage "organique" puissant dans un monde qui lui paraît si étroit.

Elle habille les murs du quotidien de sa foisonnante personnalité colorée, comme une urgence à dire, à montrer, à partager, à vivre." (sur le site)



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Association française des amis de Fernando Pessoa



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Anne-Marie Donaint-Bonave, artiste plasticienne

découvrir son site ICI



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Beau blog de Poésie et Arts, Ires et délires, par Paloma Gueran





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Le blog de Tieri Briet


Un cahier rouge


https://uncahierrouge.net/about/



(...)Le mot Recueil est devenu un mot important. Et plus encore le verbe recueillir. C’est maintenant mon travail. Recueillir la parole de ces centaines de livres qui m’apprennent d’autres vies loin du monde où je vis. Il y a des manuscrits aussi qu’on me confie, dont je photographie les pages pour en garder au moins une trace, une preuve aussi que ces récits nous racontent d’autres vies menacées par l’oubli. Le travail élémentaire d’un archiviste obstiné.


C’est grâce à ces écrits que je peux esquisser d’autres livres, tenter de raconter les vies de ceux qui écrivent d’abord pour affronter. Leurs vies m’importent. La vie de Tahar Djaout et celle de Nadejda Mandelstam, qui a sauvé les poèmes qu’Ossip composait à voix basse. La vie de Lydia Tchoukoskaïa qui sauva le Requiem d’Anna Akhmatova. Les vies de Liao Yiwu et de Liu Xinwu qui ont raconté Tiananmen dans leurs livres, malgré la prison et l’exil. Les vies de Musine Kokalari en Albanie, de Reinaldo Arenas à Cuba ou de Nuruddin Farah en exil, si loin de la Somalie qu’il a du fuir pour garder la vie sauve.



Leurs vies m’importent, et je voudrais que leurs voix restent audibles au milieu du vacarme où on vit.



Un cahier rouge


https://uncahierrouge.net/2016/12/12/journal-de-lutte-jour-27-115-jours-de-prison-pour-asli-erdogan/



Un article parmi tant d'autres


"À force, compter les jours d’emprisonnement dans ce journal de lutte devient de plus en plus comme une brûlure qui ne veut pas cicatriser. Le rappel que c’est intolérable, cette déchirure dans nos journées, ce lent travail de pourrissement par les nouveaux fascismes qui encerclent l’Europe. Compter les jours est devenu le plus simple des partages. Ce décompte que fait l’épouse d’un prisonnier, la mère dont on a condamné le fils aîné, jour après jour. Je veux m’arrêter de compter, vite.

Samedi 10 décembre 2016, c’était le cent-quinzième jour de prison pour Asli Erdoğan et à Paris, sur le plateau du théâtre de la Bastille, une femme venait pour lire Le Bâtiment de pierre. Quand nous avions lancé cet appel, Ricardo et moi, nous n’imaginions pas qu’un mois après, de Montréal à Tunis et de Lausanne à Brest, les lectures allaient se multiplier à travers les continents. Personne n’a pris le temps de compter ces gestes de solidarité. Personne ne veut compter les jours, les lieux où désormais résonnent les mots de celle qu’on a jetée en prison.

Et Clotilde Hesme est venue dans la lumière du théâtre. Un livre à la main, un petit livre jaune d’Actes Sud. Elle n’a rien dit. Elle s’est avancée devant nous, seule, silencieuse en attendant le silence. Elle a ouvert le livre à la première page, et nous a lu les premières lignes d’un livre qui porte en lui un danger, celui de ces prisons dont l’ombre nous menace. C’est aussi simple. Et parce que Clotilde Hesme est comédienne, et parce qu’il y a une magie dans le dispositif d’un théâtre, dans la présence d’un corps debout qui va parler, les mots d’Asli  Erdoğan ont pris la parole. Dans la bouche de Clotilde Hesme, un par un comme s’ils étaient des pierres, les mots du Bâtiment de pierre se sont mis à peser de tout leur poids devant nous.

Combien sommes-nous à croire au sortilège du théâtre quand un seul corps est venu l’incarner sous nos yeux ? Cernée des ombres noires de la scène, le corps de l’écrivaine emprisonnée à Istanbul venait renforcer le corps de la comédienne debout dans sa parole, au milieu de Paris devant nous. Je ne sais pas comment opère le sortilège. Je regardais le fin visage de Clotilde Hesme, taillé dans la matière de la lumière, je regardais les lèvres de Clotilde Hesme prononcer les mots d’abord écrits en turc, les mots qu’il a fallu traduire en français pour qu’ils nous parlent, et dans cette suite d’opérations où l’écriture se transforme en parole, c’était le corps d’une comédienne qui nous donnait le résultat de tout ce processus.

Les lèvres et les poumons de Clotilde Hesme, la comédienne, nous apportaient le sang vif d’Asli Erdoğan, l’écrivaine emprisonnée. Son art du récit était pour nous, qu’elle déposait sur le plateau nu d’un théâtre où nous faisions silence. Presque une cérémonie pour conjurer l’emprisonnement. La dignité d’un corps de femme debout dans la lumière, tendu à l’intérieur d’une voix si claire, d’une parole simple et humaine qui nous donnait les mots d’une parole menacée.

C’est difficile de raconter un sortilège. Il faut tout l’art du romancier ou du conteur. Je ne sais pas comment faire, pour raconter la voix humaine de Clotilde Hesme, quand elle apporte à nos pieds la parole menacée d’Asli Erdoğan. Le corps solaire de la comédienne venu porter le corps fragile et souffrant d’une écrivaine aux prises avec les prisons de l’Etat turc où elle essaie de vivre. L’étrange métamorphose de la langue turque venue couler entre les lèvres de Clotilde Hesme.

Au moins puis-je raconter un secret. Celui que la comédienne n’a pas livré à ceux qui l’écoutaient, ce soir de décembre à Paris. Les mots d’Asli Erdoğan, Clotilde Hesme les a reçus de Patrice Chéreau, l’année de sa mort en 2013. Un peu comme une offrande qu’on fait quand on s’en va. Lui voulait que ce soit ses lèvres à elle qui viennent lui lire les mots d’Asli, sur le plateau nu d’un théâtre où tous deux travaillaient d’arrache-pied. Parce que Chéreau travaillait d’arrache-pied. Parce que la voix de Clotilde Hesme avait la force de dire un si beau texte, qui nous raconte l’ombre des prisons dans nos vies.

Comment remercier celle qui dans Paris nous a porté les mots de celle qu’on emprisonne ? L’art du théâtre a cette puissance. Et dans cet art habite le corps debout d’une comédienne miraculeuse, celle qui lisait les mots d’Asli à Chéreau, dans l’année de sa disparition." Tieri Briet

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Julien Gracq, le site, par José Corti

ICI


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Fanny Ferré, sculpteur

http://atelier-artiste.pagesperso-orange.fr/fanny-ferre/pages/visite.html





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Blog littéraire, Minotaur/A


Marilyne Bertoncini

"Enseignante, poète et traductrice, née dans les Flandres et partageant ma vie entre Nice et Parme - passionnée donc par tout passage – transmission, translation, déplacement, voyage, errance d’une frontière, d’une langue, d’un rêve à l’autre : je place ce blog sous le signe de MINOTAUR/A nocturne figure de l’outre-monde, que révèle son double, Ariane, maîtresse du fil de la langue…"MB


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Marta Coulson, photographies, peintures


http://martacoulson.com/photography/19-eau-noire





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Autour de George Sand, un très beau blog que je viens de découvrir

La correspondance de George Sand 




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Poésie

revue numérique d'expression poétique à parution aléatoire

https://poesiemuziketc.wordpress.com/2012/12/18/christophe-tarkos-poemes/




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Nouveau site (en création) de Léo Ferré

https://leo-ferre.com/


Après 8 ans de silence, le site officiel de Léo Ferré revient dans le juste fuseau !

Après 8 ans de silence, le site officiel de Léo Ferré revient dans le juste fuseau !

01/05/2016
Allô le Temps ?... Certains seront soulagés de leur longue patience, d'autres tomberont des nues : le site officiel des Éditions La Mémoire et la Mer (LMELM) renaît de ses cendres. Debout Lazare !Benvenuto ! Bienvenida ! Bienvenue ! Notre site, patiemment et amoureusement refait à neuf pour mieux voguer dans « ce monde de fouillis », est une invitation à vivre une expérience que les « Lafarfouillett' » du streaming et autres supermarchés de « l'indifférence multi » ne sauraient vous offrir : un espace de navigation calme et attrayant avec de la matière à écouter...






Littérature                





Un exemple de ce que vous trouverez sur ce blog

Reposez-vous (Jean-Pierre Duprey /


1930~1959)


2 janvier, 2015





dupr_bailly


Reposez-vous (Jean-Pierre  /1930~1959)
2 janvier, 2015
dupr_bailly

Reposez-vous, mangeurs de choses,

Ou prenez-moi par une main qui dévore.

Au fond du jeu qui me suppose,

Se font, se défont les tissus du corps.



Reposez-moi, mangeurs de choses,

Entre les doigts défaits de la main bleue

Qui file, autour de la nuit qui m’expose,

Ses ongles, larmes séchées d’anges creux.



J’ai mémoire encore de poutrelles,

Au-dessus du lac qui saborde

Ses propres surfaces sous ses ailes;

Et puis les gestes prêtés à l’ordre



Et les gestes d’intervention

D’une muraille plantée de coudes

Qui ne jure l’absolution

Que pour cette partie de chair lourde



Pressée ailleurs ;

Alors qu’ailleurs encore

Ailleurs encore

Toutes mes parties de peur

Parties de peur

Tournent autour de la charrette des couleurs.



( La Fin et la Manière 

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LITTERATURES DU MONDE ENTIER

Hubert Haddad, éditions Zulma

Mon ami Cristian Ronsmans m'écrit ceci (FR)

" Hubert Haddad l'un des tous premiers auteurs de cette belle maison d'édition que j'ai connue toute petite quand elle avait son siège dans le Gers et un petit bureau, rue Auber chez Calmann Lévy. Laure Leroy, une formidable éditrice du gabarit des grands éditeurs a réussi ce pari difficile de s'imposer dans ce monde redoutable de l'édition. J'ai eu le privilège de porter ses premières productions, il y a 20 ans, sur les fonts baptismaux de la librairie" (CR), le 11 février 2016




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Bruno Catalano, sculpteur

Bruno Catalano

« Jamais je n’avais senti, si avant, à la fois mon détachement de moi-même et ma présence au monde.»
Albert Camus.

Une valise, un homme. Il s'en empare, et se lance vers l'inconnu. Voyage volontaire vers un horizon qu'on embrasse et qu'on voudrait infini, ou voyage forcé, contraint par l'exil et la souffrance, en quête de liberté et guidé par la survie. Le voyageur de Bruno Catalano est cet homme laissé à lui même, un homme propulsé dans l'infini du temps et de l'espace. Sa maison n'est plus qu'une valise et son être, progressivement, se dépouillera de tout ce qu'il croyait indispensable, de tout son moi si savamment construit par nos sociétés. Il n'est plus l'homme d'un monde, mais l'homme dans le monde, encore empreint de sa culture mais devenu fragile face à l'immensité. Sa quête ne se fera pas sans dommages. Homme défragmenté, déstabilisé, dépouillé de ses repères, il marche vers son salut autant que vers sa perte. Tout sera désormais a réinventer. Ce voyageur s'échappe de lui même, à la rencontre de sa terre inconnue.

Artisan sculpteur, ainsi qu’il se définit lui-même, Bruno Catalano a débuté sa carrière en 1990.

Le thème universel du voyage l’a toujours inspiré. Depuis ses premiers travaux à l’argile, des centaines de voyageurs sont nés de ses mains. Les moteurs principaux de sa création sont l’exil et le détachement. Il exprime l’idée d’une humanité nomade, fière dans le malheur, en quête perpétuelle de lendemains meilleurs.

Ses hommes en lambeaux, marchant contre l’adversité, porteurs de valises qui semblent contenir le monde, ses personnages en mouvement, troués, touchent les novices comme les plus initiés. Il essaie par ce concept de s’adresser aux hommes d’aujourd’hui quel que soit leur âge, poussé par ce besoin d’évasion, persuadés de trouver ailleurs le bonheur qu’ils n’ont pas réussi à atteindre.

« Dans mon travail, je suis toujours à la recherche du mouvement et de l’expression des sentiments, je fais sortir de l’inertie la forme et la cire pour leur donner vie. Venant moi-même du Maroc j ‘ai porté ces valises pleines de souvenir que je représente si souvent. Elles ne contiennent pas seulement des images mais aussi du vécu, des désirs : mes racines en mouvement.»



Biographie de l'artiste :

Né au Maroc en 1960, d'origines multiples et méditerranéennes, Bruno Catalano et sa famille sont contraints à l'exil en 1975. Débarqué à Marseille avec l'espoir d'une vie nouvelle, il garde en mémoire la douleur du déracinement. Devenu marin à 18 ans, puis électricien, il rencontre l'art et la sculpture sur argile à 30 ans, à travers des artistes tels que Rodin, Giacometti, César. Il décide alors d'y vouer son existence.

Remarqué pour la première fois en 2005 dans un salon d'art contemporain par un galeriste parisien, il évolue de l'argile vers le bronze, et sculpte des personnages de plus en plus grands, réalisant ainsi d'importantes prouesses techniques. Aujourd’hui les Voyageurs font partie des plus prestigieuses collections privées, et font régulièrement l'objet d'expositions dans le monde entier.

Le travail de Bruno Catalano est représenté par les galeries Bartoux à Paris, New York,
Singapour, Cannes, Saint-Paul de Vence. www.galeriebartoux.com, la galerie Médicis à
Paris www.galeriedemedicis.com et la galerie Ravagnan à Venise www.ravagnangallery.com

Sculptures ICI

Dans son atelier ICI



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Henri Landier


http://www.artlepic.org/
A propos de l'artiste
Henri Landier

Les photophores chanteurs d’IMPERIA

Dans sa riche carrière artistique, Landier a peint le chant plastique, de Venise, Prague, Paris et ses amours pour la Toscane.

Landier n’est pas un artisan de l’Art mais un poète : chaque jour, pendant neuf heures d’affilées, il se mit à peindre avec une fiévreuse frénésie, dans un dessin ferme : Impéria Alta, La Casa della Pace, La Via Paradiso etc…

Pour ne s’arrêter qu’à Onéglia en front de mer. Il engrenait sur ses toiles des façades de la vieille ville habillée des plus beaux topazes de sa palette, des ors ardents sous le clin d’œil outremer du ciel. Le soleil éclaboussait de rutilements et de soufres les toits et les façades d’impéria.

Un vieux monsieur en vert assis sur son banc regardait les pavements de la rue. A ces vermillons impétueux, s’ajoutaient les ambres des fruits. A ces cinabres hilares se fiançaient d’octaves jaunes en contre-ut de « phosphores chanteurs » Rimbaud, les plans baroques ou raisonnés dans les grands tohu-bohus de l’instantané. Sous ses pinceaux, IMPERIA avait la fièvre des couleurs exaltantes en verticales vertes et rouges. Entre chaque toile, il mangeait quelques olives, spécialité d’IMPERIA en pensant à l ‘Ecriture de ses futures toiles.

Car le style de Landier, ici se métamorphosait dans la lumière sans ombré, crépitante, hallucinante de ses jaunes purs que les marchands de couleurs appellent platoniquement «jaunes citrons».

Guy Vignoht



Henri Landier

Je me peins donc je suis.

Moi, Henri LANDIER, artiste peintre et graveur français, européen, et citoyen de ce monde que j’ai tant sillonné !

Je suis un long parcours de visages plantés à la surface de ces toiles, comme autant de graines de moi-même, dans le vaste jardin de ma vie d’artiste. Nous sommes en apparence, tous ensemble, autant de semblables, mais cependant nous sommes tous différents les uns des autres, parfois même étrangers l’un à l’autre …

Nous sommes autant de mutations d’une même souche, autant stades dans l’évolution d’un être unique de chair et d’os qui, sans relâche depuis des décennies, fait sa révérence à une discipline fascinante autant qu’exigeante : la Peinture.

Je suis donc je peins. Je suis dans la peinture, je suis la Peinture.

Je suis couché dans elle : elle me drape, m’enrobe, me façonne. Elle est mon corps, mon visage, mes muscles, mes nerfs, mon sang. Elle circule dans moi et autour de moi. Elle est mes doutes, mes tensions, mes espoirs, ma joie ! Mes certitudes, mes renoncements, mes envies. Elle est à la fois mon angoisse et ma sérénité. Avec elle je suis un alchimiste miraculeux : je me décante, je me dépulpe et me re-pulpe, je me filtre. Pourquoi tant de persévérance et d’application à faire cela depuis tant d’années ? Parce que dans la vie je suis un égaré, et que grâce à la peinture je me retrouve : je sais où je vais et ce que je veux.

Pour l’ancien marin que je suis, la Peinture est à la fois le vaisseau par lequel je navigue dans l’âpre vie, et l’océan infini qui me porte et porte mes espérances. Oh ! Je sais bien que je ne suis qu’un pilotin parmi d’autres dans ce vaste monde, et je respecte la loi du nombre. Mais j’ai en tête ma propre feuille de route et je tiens bon le cap, même par gros temps. Regardez le grand et beau sillage que j’ai laissé derrière moi ! Et il n’est même pas refermé ! Ne me dites pas que ce long et dur voyage ne valait pas la peine d’être mené ! Je ne dis surtout pas cela par fierté, car né en territoire de modestie j’en suis bien incapable. Je le dis pour que vous vous souveniez que mon œuvre est la monnaie d’une pièce : ce dur prix payé pour arracher la liberté de tracer ma route. 60 ans après, cette œuvre est là et bien là, c’est indéniable.

Je me peins, et ce faisant je peins ma liberté de peindre : dans l’extravagance et la gourmandise de la couleur, dans la recherche des postures ou dans une mise en scène ordinaire, dans le travestissement ou dans le réel, dans l’exubérance des motifs ou dans la simplicité, dans la joie et l’humour ou dans la sourde gravité.

A l’heure de la mode de l’art contemporain pour les « multiples», ma différence c’est que je me multiplie moi-même mais sans jamais me copier pour autant, car dans ma longue vie j’ai bien été plusieurs Henri LANDIER à jaillir de ce corps, de cette pensée, de cette main au couteau qui triture sur la toile ma chair picturale, qui façonne mes innombrables visages, les fend de couleurs vives ou sourdes, pour mieux m’envisager, me dévisager.

J’ai cette capacité à m’enfanter moi-même car la Peinture est ma généreuse matrice, le lieu où mon âme est, toujours, fécondée par le geste qui porte cette matière quasi organique qui a le pouvoir de me générer, à l’infini si j’en avais l’envie et surtout le temps…

Ce que je veux dire avec tous ces moi-même jetés à vos regards ébahis, circonspects ou simplement curieux ? Combien la peinture est une aventure entre soi et soi, un art profondément solitaire… Que tout sujet est bon à prendre, mais qu’entre tous le portrait du peintre par lui-même est le plus singulier : un jeu de mises au point régulières sur son sort de mortel et de mises en perspective de sa peinture en évolution constante. Une façon de se mettre tout entier dans son œuvre, d’y plonger littéralement, pour tenter d’y surnager en affrontant les vagues du temps qui peu à peu le submergent. Et de suggérer que ma peinture, elle, tiendra bon et ne se laissera pas emporter aussi facilement que moi.

Mes autoportraits sont aussi des moments entrevus de mon long voyage d’artiste. Ils constituent, tous ensemble, le carnet de voyage intime de ma vie d’homme à travers le temps et l’art que j’ai choisi d’investiguer il y a près de soixante ans. Chaque autoportrait est  une étape de ma vie et de ma création. Chaque autoportrait est un manifeste fertile, une nouvelle naissance, et déjà, aussi, un acte de décès. Car ma personnalité dérive lentement comme le font les continents, et la transformation de mes traits, de mes préoccupations et de mon intention plastique la font bouger sur un planisphère invisible : un jour ici, demain, là-bas, tout mon contenu humain, sensoriel, émotionnel, intellectuel et physique se déplace inexorablement. Où serai-je dans le futur proche ? Je ne le sais pas. Ne parlons pas du futur éloigné. Je sais en revanche ne plus être tout à fait aucun de ces hommes dépeints : ce sont tous les Henri LANDIER d’un autre temps (je devrai dire « d’autres temps ») que j’ai dissous dans ma propre peinture. Leurs cœurs palpitent à la surface de ces peaux tendues, et leurs représentations sont les éthers toujours vivaces de mon âme d’alors, couchée, blottie, au creux de ces formes en leur temps vues, envisagées, voulues et enfin tracées.

Ces autoportraits jalonnant mon espace-temps, parlent aussi de nos innombrables rendez-vous secrets. Quand je dis « nos » je veux parler de la Peinture, du Temps et de la grande Confrérie universelle des Peintres où je m’inclue. Je convie régulièrement tout ce beau monde à mon atelier. La grande Confrérie de Peintres m’autorise à convoquer à mes côtés les grands maîtres portraitistes du passé : REMBRANDT, DURER, DELLA FRANCESCA, VAN DER WEYDEN, VAN EYCK et j’en passe… Ils viennent à moi par le grand escalier qui relie le temps actuel à tous les temps de la peinture, et nous conversons. Je leur emprunte parfois leurs chapeaux, leurs blouses, leurs ornements, ou leurs attitudes. C’est moi, le vivant, qui tient le pinceau, tandis qu’eux, les grands esprits, commentent mon travail en train de se faire, y insufflent leurs idées, leurs compositions, leurs « trucs ». Et moi je reste concentré et travaille de plus belle pour ne pas les décevoir. J’ai enfanté tant de LANDIER intouchables au nez et à la barbe de la grande faucheuse, qu’ils la submergeront sans difficulté à la moindre de ses tentatives contre eux. Moi, elle peut bien m’emporter à présent que j’ai saupoudré mon âme aux quatre vents : je l’attends sereinement.

Daniel PIRROTTA


Sur le site



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 Puisaye-Forterre, la route des Peintures murales


La Puisaye-Forterre se distingue entre autre par les ressources de son sous-sol en ocre.
Elle a ainsi servi de matière première pour illustrer les murs des églises et chapelles. Sont alors nées les peintures murales de Puisaye-Forterre. Ce patrimoine est un vrai témoignage du passé, puisque les peintures datent du XIIème au XVIIème siècle.
Treize églises et chapelles se sont regroupées en réseau pour promouvoir et rendre accessible à tous ce patrimoine.
Le DVD du film « Voyage au Pays des peintures murales de Puisaye-Forterre » est en vente dans les Offices de Tourisme de Puisaye-Forterre au prix de 8 euros. Retrouvez prochainement le clip de de film (lien à venir).
La liste des Offices de tourisme est disponible en cliquant sur le lien ci-après : offices-de-tourisme-syndicats-d-initiative

Les treize monuments du Réseau

  • Bléneau
  • La Ferté-Loupière
  • Lindry
  • Louesme
  • Moutiers-en-Puisaye
  • Parly
  • Pourrain
  • Ronchères
  • Saint-Amand-en-Puisaye
  • Saint-Fargeau
  • Saints-en-Puisaye
  • Villeneuve-les-Genêts
  • Villiers-Saint-Benoît

Contacter le Réseau des Peintures Murales de Puisaye-Forterre

Rue Raymond Ledroit
89170 SAINT-FARGEAU
Tél : 03 86 74 19 19

Chantier de peintures murales à Guédelon en 2012

Pour la première fois à Guédelon, une pièce du château se couvre de peintures murales réalisées avec des ocres locales. www.guedelon.fr

Où trouver des ocres ?

  • Ets Solargil à Moutiers en Puisaye : boutique spécialisée dans la vente d’ocres locales.
Tél : 03 86 45 50 00 – www.solargil.com


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Poète du dimanche, 27/12/15
Derrière une fenêtre, la solitaire confie ses rêves à la lune,
Remuée par tant de soupirs,
la dame blanche dépose les derniers désirs de l'esseulée
sur des dentelles de nuages.»
- Pier de Lune
Bienvenue !
en ce lieu où se croisent
des sentiments,
des mots à partager ...

Dans la rubrique des Poètes, quelque quatre-vingts auteurs contemporains brillent aux côtés des Émile Nelligan, Jacques Prévert, Pablo Neruda, Nadia Tuéni ... etc. ... vous pourrez lire leur biographie ainsi qu'une sélection de leurs poèmes.

Découvrez des poètes contemporains et leur site sous la rubrique des "Liens".

Nouveauté : - Voyage en Cosmogonie - Ode Beaudry 
( format numérique )


Je souhaite que ce site réponde à vos recherches 
et vous invite cordialement à donner votre avis
Bien à vous,
Jisca




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Sommaire 150/ Issue 150/Sumario 150
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Membres fondateurs :
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Directeur de la publicationEric PISTOULEY
Rédacteurs en chef
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Rédaction
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Recours au Poème.

                    

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              Atelier Studio Liza Athènes

Le samedi c'est tout gris.

ciel d'hiver
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Moisson
Publié le 28 décembre 2015 par la freniere

Tu es cette mère que j'ai perdue
Mais comment croire
que la mort
avait pu t'emporter
Dressée dans mon regard
ou rôdant dans ma tête
tu ne me quittais plus
Pourtant tu étais l'absente
Une absente si présente
que forcément
un jour ou l'autre
tu allais apparaître
Alors je t'ai attendue
Tu me parlais à voix basse
et le temps ne pesait pas
Je t'ai attendue
mais tu n'as pas paru
Alors je t'ai cherchée
Cette inconnue qui marchait
devant moi dans la rue
je la suivais
certain qu'elle était toi
Mais c'était chaque fois
la déception de découvrir
que jamais son visage
n'était le tien
Partout je t'ai cherchée
Dans les bars et les rues
dans les gares et les trains
sur les plages et dans les ports
Partout je t'ai cherchée
Dans bien des villes
et bien des pays

Partout je t'ai cherchée
Et je te cherche encore
Tu es cette morte
qui n'a cessé
d'enténébrer ma vie

Charles Juliet


               


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Sommaire
n° 167 (septembre 2015)
Couverture : Maria Vinuesa
Intro (Jacmo)
Phare dans la nuit (Georges Cathalo) : La Lune bleue
Hommage à CLOD’ARIA (Claude Vercey, Louis Dubost, Claudine Goux, Luce Guilbaud)
Christiane LEVÊQUE : Regards en lignes 
Étienne PAULIN : Gravité et fantaisie(Claude Vercey)
Georges BONNET : Chaque chose mendie son nom 
Poètes et poèmes du Paraná (Jean Foucault)
Cédric LE PENVEN : Ce jour nu sur la table 
L’Inouïe  : Emmanuelle LE CAM : Peindre 
Des voix venues d’ailleurs (Y-J Bouin) : Claire KRÄHENBÜHL
À l’œil nu (Alain Kewes)
Les Ruminations (Cl. Vercey) Qu’attendez-vous des poètes ? (1)
Les chroniques du Furet : Le sens d’un poème… (Patrick Argenté)
Diaphragme - Notes de lecture (Jacmo)
Il y a poésie (Mathias Lair)
Le Choix de Décharge 
Jeanne BRETEAU
Armelle LECLERCQ
Jean-Pierre GANDEBEUF
Laurent FAUGERAS
Estelle FENZY SOUAL
Irène DUBOEUF
Jean-Claude MARTIN
Sanda VOÏCA
Richard TAILLEFER
Muriel CARRUPT
Jean-Luc COUDRAY
Florian TOMASINI
Natacha LAFOND
Bon de sortie  : Luce Guilbaud : Retour de Marché...
160 pages - 8 €


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Livres

Dernier ajout : 24 novembre.

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Description : Ce blog a pour but de présenter mes recherches sur la première guerre mondiale (guerre 14 18), mon roman ainsi que ma position concernant la réhabiliation des fusillés pour l'exemple. Eric Viot

Son livre

LES BLESSURES DE L'AME

New couverture livre 001 
Eté 1914, instituteur dans un petit village de province, il prépare son départ pour la guerre.
Il passera quatre ans dans cet enfer à voir mourir de pauvres types. Quatre longues années pendant lesquelles lentement il va sombrer, cherchant le réconfort dans l’alcool.
Contrairement à Georges, son corps ne porte pas les traces de ses blessures ; lui, c’est son âme qui a été meurtrie.
Ni sa femme Lucie, ni son fils Jean, ni ses chères petites têtes blondes, ne pourront lui faire oublier, Soreau, Milcent, Bersod, Minard, André, François et bien d’autres camarades, morts à cause de cette guerre …

Association pour réhabiliter les fusillés pour l'exemple
Création d'une association nationale pour la réhabilitation collective des fusillés pour l'exemple de la première guerre
A l'initiative de la Ligue des droits de l'homme, section d'Auxerre, deux journées sont organisées les 14 et 15 novembres 2015 à la salle polyvalente d'Escamps (89240) sur la réhabilitation collective des fusillés pour l'exemple de la première guerre et notamment sur la création d'une association nationale pour la réhabilitation collectives des fusillés pour l'exemple de la première guerre. N'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en savoir plus. Eric Viot

Vous trouverez les coordonnées d'Eric Viot, en visitant son blog

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Site officiel de Henri Gougaud

" Les légendes sont ce que nous avons de plus précieux en ce monde. Elles ne sont pas une pâture puérile. Elles ne sont pas une manière d’oublier le réel, mais de le nourrir. S’insinuer tendrement en elles c’est apprendre la liberté, éprouver le bonheur parfois douloureux de vivre. 
Henri Gougaud parcours :

La vie de saltimbanque, pour Henri, ça commence à la fin des années 50. Il " monte " à Paris, fait la manche dans les restaurants, découvre la « Rive gauche » et ses cabarets. Léo Noël l’engage à l’Écluse.
Il y partage la scène avec Christine Sèvres, Gribouille, Barbara, Marc et André... Climat exaltant. C’est une famille sans motivation commerciale, on y compose des chansons sur un coin de table en essayant de faire au plus beau.

Il n’est pas chanteur, mais homme qui chante. Nuance. Un jour il a l’occasion de proposer des chansons à Serge Reggiani, « Paris ma rose » est choisie. Quand les autres commencent à chanter pour lui, il cesse de se produire, car son désir est avant tout d’écrire. Jacques Bertin, Gribouille, Christine Sèvres, Juliette Gréco, Jean Ferrat, Lise Médini, Martine Sarri, Colette Mansard, Marc Ogeret  entre autres chanteront ses chansons.

Vient le grand vent de 68. En 1969 il crée avec des amis une maison d’édition, Bélibaste, qui publiera sa traduction des « Poèmes politiques des troubadours » et divers textes anarchisants comme les « Lettres de prison » de Rosa Luxembourg.

En 1973 il publie « Démons et merveilles de la science-fiction ».

Invité sur France Inter par Claude Villers pour présenter son livre, il débute avec lui une chronique de science-fiction (Pas de panique) et commence à raconter des histoires (Marche ou rêve).Viendront Le grand parler, puis Ici l’ombre, et Tout finit par être vrai. Des bibliothécaires lui demandent de venir raconter. De lui-même il n’y aurait peut-être pas songé. À partir de ce moment il décide de ne plus faire qu’écrire. Un recueil de nouvelles fantastiques (« Départements et Territoires d’Outre mort »). Des romans, des recueils de contes et de légendes, un Almanach.

Il conte, aussi. Ses soirées s’intitulent « Le grand parler », ou « Contes des origines ». Dans « Beau désir », il exalte, avec les contes dits « paillards », la jubilation de la vie. S’il se rattache à une lignée, c’est celle des saltimbanques, ces gens intemporels capables d’improviser une scène sur un bout de trottoir.

Libertaire définitif, il invente sa vie tous les jours. Il dit : « Les contes m’ont nourri toute ma vie, ils m’ont fait ce que je suis. Comment ont-ils fait ? Je l’ignore, c’est leur secret. »

( sur le site d'Henri Gougaud )



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"La Maison Julien Gracq est une association type loi 1901 créée conjointement par la Région Pays de la Loire et la Ville de Saint-Florent-le-Vieil. Elle anime et gère le domaine légué par l’auteur à la ville de Saint-Florent-le-Vieil."


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J'ai conservé, de mes études aux Beaux-Arts de Paris et du passage par l’édition indépendante, un goût pour l’objet; plus, l’objet ayant une odeur. Directeur artistique aux éditions Lunatique (dont je suis le co-fondateur), j’avais déjà opté, en 2011 pour un papier lourd, généreux, presque crémeux, le Munken pur rough. Or ici, puisqu’il s’agit d’une revue, je devais passer à un autre format : du 14 x17cm des livres, je suis passé au 21 X 26cm de Revue Métèque.

Ces deux rectangles – celui des livres « Lunatique », et celui d’RM – s’approchent visuellement d’un carré: si le carré pur n’est pas commode pour lire, le format que j’ai choisi m’a donné ce que je cherchais, une sorte d’aisance et de beauté.

Il m’a aussi conduit à modifier le grammage du papier: alors que pour les livres il était de 90 gr, ici, pour RM, il est de 135 gr. La couverture, elle, est de 300 gr au mètre carré. Si bien que Revue Métèque se présente comme un objet assez massif, dont le dos, ce que les gens appellent « la tranche », mesure 1 centimètre pour 88 pages; c’est plutôt rare …

Pour l’odeur, presque la senteur – mais j’évite le lyrisme -, Revue Métèque, imprimée en offset et non avec les imprimantes laser, bénéficie d’encres particulières. Elle a une odeur attachante. Personnellement, à l’heure des liseuses et des PDF online, un tel objet, avec son côté dinosaure, me plaît. Disons qu’il était mon projet.

Mais entendons-nous bien, si elle n’est pas imprimée n’importe comment sur un papier mollasson, cette revue n’est pas pour autant un livre d’art, numéroté et signé. RM est à la fois une revue et un objet.

JF Dalle
Directeur de publication
conception graphique




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"Moustaki. Pour que ça ne tombe pas aux oubliettes"

Moustaki 
Pour que ça ne tombe pas
aux oubliettes...

Chantal SAVENIER


Date de parution : 1er mars 2014

 


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Les éditions Lunatique



"Si vous êtes...
trublion, grondant, insane, scélérat, factieux, indocile, intense, druide, idiot, muscadin, têtu, émeutier, mutin, séditieux, athée, mirliflore, débauché, dépourvu, coléreux, cruel, farouche, furieux, agressif, emporté, poignant, frénétique, terrible, élégant, torrentiel, détraqué, véhément, virulent, acharné, ardent, exalté, fulgurant, furieux, bourreau émérite, azimuté, enragé, abîmé, monomane, obnubilé, érotomane, corrompu, gandin, désarçonné, érudit, boucher, bénédictin, dépouillé, somptueux, si vous aimez les carottes ou les chiens, ou les deux, si vous êtes égaré, terrien, lunatique mais poli avec le comité... alors nous vous lirons.
Mais seulement si nous sommes dans un bon jour." éditions Lunatique

Cette maison d'édition a une quarantaine de titres à son catalogue, parmi eux Denis Tellier dont j'ai lu et aimé "Adrien de la vallée de Thurroch", que j'ai lu et beaucoup aimé (dont j'ai déjà parlé sur ce blog)

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Un site de poète, auteur, compositeur, interprète, Yves Petident. Je l'ai rencontré lors d'un spectacle intitulé "La Crosse en l'air", présentant des poèmes pour la plupart inédits de soldats de la Grande guerre (14-18), essentiellement écrits au cours de l'année 1917. 
J'ai consacré un article à cette représentation



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Je voudrais vous inviter à visiter le nouveau blog de mon amie Cristina Castello, poète et journaliste argentine. Elle partage sa vie entre Buenos Aires et Paris, ses deux "patries", ses deux amours.
Elle a publié quatre très beaux recueils de poèmes, que vous découvrirez en lui rendant visite.
Cristina aime toutes les formes d'Art, recherche la Beauté, lutte pour davantage de fraternité humaine, dénonce l'injustice faite à certains peuples.

http://wwwcristinacastello.blogspot.fr/

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Site de l'artiste Fabienne Perrier
Contact
MIN'

22 Avenue de la Concorde
21000 Dijon
France
Mail : fab21.perrier@orange.fr



http://min336.wix.com/fabienne-perrier
http://min336.wix.com/fabienne-perrier#!imagine/c1r5b

https://www.facebook.com/pages/Fabienne-Perrier-Art-Work/515560105225647?ref=hl



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Je vous invite à découvrir le site de Yanis Taieb auteur

http://yanistaiebauteur.blogspot.fr/

http://yanistaiebauteur.blogspot.fr/2014/08/blog-post.html?utm_content=buffer47e6f&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer

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 SUPERBES VISITES VIRTUELLES DU CENTRE POMPIDOU

http://www.themuseumchannel.tv/index.php/en/component/purescreensexhibitions/view/676/centre-pompidou-paris?q=&lang=fr

Présentation du Centre Pompidou, Paris


Le Centre national d'art et de culture Georges Pompidou , plus communément Appelé Centre Pompidou ous Centre Beaubourg Est Un musée français né de la Volonté du président de la République française, Georges Pompidou, de creer un musée d'art moderne et contemporain en plein centre de Paris.
Le Centre Pompidou, Paris , is one of Trois, plus grandes collections d'art moderne et contemporain au monde, with Celle du Tate Modern, Londres et du Musée d'Art Moderne de New-York .
Inauguré par le fils successeur, Valéry Giscard d'Estaing, en 1977, le bâtiment is D'ABORD très critique verser architecture de fils à la cause des canalisations et des passerelles Métalliques Qui ne Sont pas cachées, bien bien au contraire. Mais RAPIDEMENT, le Centre Pompidou, Paris , rencontre des Nations Unies vive succès et DEVIENT UN MUSEE incontournable.
En 2012, il accueille, plus de 5 millions De Visiteurs, Ce Qui le classe parmi les musées les plus les visites au monde. Le Centre Pompidou, Paris , Permet De découvrir des oeuvres d'artistes plongeurs, tells QueKandinsky ("Jaune-rouge-bleu (gelb-rot-blau)"), Léger ("Les Grands Plongeurs noirs") ous Ernst ("Un tissu de mensonges "), Mais aussi Warhol et Pollock AINSI Que des artistes ainsi Récents Comme Eshel Meir, ditAbsalon , Veilhan ous bien encore Moriceau .


Présentation de l'exposition du Centre Pompidou, Paris


Inauguré en 1977 au coeur de Paris , le Centre Pompidou is Aujourd'hui Un Lieu d'art et de culture incontournable. Ce musée à l'architecture controversée l'ABRITE NOTAMMENT UN MUSEE nationale d'art moderne et contemporain, rassemblant la collection La plus Importante d'Europe et La Troisième au niveau mondial! Decouvrez les oeuvres des Plus Grands artistes du XXème siècle , de Warhol à Dali en passant parKandinsky et Miro . Bonne visite!



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Site officiel de Georges Moustaki

http://www.creatweb.com/moustaki/


Georges Moustaki 1934-2013
est né "Giuseppe Mustacchi", de parents grecs, à Alexandrie (Egypte) le 3 mai 1934.
Instrumentiste, auteur-compositeur-interprète, poète,
ses oeuvres seront souvent chantées par les plus grands : Piaf, Reggiani, Barbara, Dalida, Montand, Salvador entre autres...
Georges Moustaki se révèle comme interprète en 1969 avec "Le Métèque".
Il compose pour le cinéma, aime également écrire, dessiner et peindre.
Il parcourt la France et la planète (parfois à bord de sa moto) pour rencontrer ses amis, en découvrir de nouveaux et chanter partout sa révolution permanente.

Un homme simple, naturel, vif et amusant, piquant parfois...
Barbara dit un jour :"Moustaki, c'est ma tendresse".
Un mot qui lui va à ravir.


Partie1

Partie4
Partie2
Partie5
Partie3



Passions




Mes remerciements à Marc Legras, auteur de cette belle biographie,
Christian Noaille, de l'atelier Noaille, pour leur amicale collaboration.
Photographies :
Collection personnelle Georges Moustaki
Flair Photography
P.Dacasa

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http://www.christophecharbonnel.fr/

Sculpteur français contemporain



Né en 1967, Christophe Charbonnel démarre sa carrière comme dessinateur puis modeleur dans les studios Walt Disney à Montreuil. Initié par le sculpteur Philippe Seené à l’école Duperré dans les années 1990, Christophe Charbonnel réalise son premier bronze en 1992, expose son travail depuis 1998, essentiellement à Paris, mais également à St Tropez, Cannes, Lille, Strasbourg, Anvers, Liège....
L’écrivain public Michèle Geoffroy, dans Les plus beaux intérieurs, volume 2, évoque en ces termes l’œuvre de l’artiste : « Christophe est sculpteur. Il sculpte, ou plutôt modèle des figures humaines. Elles sont en terre, en plâtre, en bronze. Elles sont petites et tiennent dans la main, ou grandes et nous dépassent, de haut. Elles sont têtes, torses, corps partiels, entiers, déployés, ramassés. Elles sont belles et fières. Elles nous ressemblent et elles ont quelque chose de plus, elles transcendent, elles sont au-delà de notre nature, elles disent notre corps mais aussi notre âme ».
Si le domaine public s’intéresse à lui (commande d’une fontaine, d’un Christ), ce sont surtout les entreprises qu’il séduit par ses oeuvres monumentales, en taille (Colosse, Guerrier) ou en nombre (Groupe de guerriers, Les Bâtisseurs)...
Profitant d’une belle visibilité grâce aux acquisitions faites par des palaces étrangers et français (le Ritz à Paris, Four Seasons à Cannes, ...), les oeuvres de Christophe Charbonnel sont de plus en plus plébiscitées.
En 2010 , il est lauréat de la Fondation Taylor.


http://matthieugosztola.com/

Matthieu Gosztola

Ecrivain, poète, photographe

Matthieu Gosztola


Docteur en littérature française, Matthieu Gosztola a obtenu en 2007 le Prix des découvreurs. Une vingtaine d’ouvrages parus, parmi lesquels Débris de tuer, Rwanda, 1994 (Atelier de l’agneau), Recueil des caresses échangées entre Camille Claudel et Auguste Rodin (Éditions de l’Atlantique), Matière à respirer (Création et Recherche). Ces ouvrages sont des recueils de poèmes, des ensembles d’aphorismes, des proses, des essais. Par ailleurs, il a publié des articles et critiques dans les revues et sites Internet suivants : Acta fabula, CCP (Cahier Critique de Poésie), Europe, Histoires Littéraires, L’Étoile-Absinthe, La Cause littéraire, La Licorne, La Main millénaire, La Vie littéraire, Les Nouveaux Cahiers de la Comédie-Française, Poezibao, Recours au poème, remue.net, Terre à Ciel, Tutti magazine.
Pianiste de formation, photographe de l’infime, universitaire, spécialiste de la fin-de-siècle, il participe à des colloques internationaux et donne des lectures de poèmes en France et à l’étranger.



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http://www.jeanprevost.org/

Jean Prévost ( 1901-1944 )

Ecrivain, journaliste, résistant



http://amimots.tumblr.com/

Le Passant, poésie et photos


http://aprampartartpostal.blogspot.fr/

Un très joli blog d'Art postal, que je vous recommande vivement



http://piamoustaki.fr/index.php?page=musique

Site officiel de Pia Moustaki artiste, interprète.
Fille de Jo Moustaki
Née à Paris d’une mère bretonne et d’un père à la gueule de métèque, Pia baigne dès l’enfance dans le monde artistique. Elle rencontre Barbara, Serge Reggiani, Edith Piaf et son père, Georges Moustaki, l’emmène en tournée dans de nombreux pays. Par sa mère Yannick Varech, Pia fait la connaissance de Boby Lapointe, de Jacques Higelin et d’Alain Féral.

La 1ère fois qu’elle chante sur un disque, c’est avec son père, en duo sur la chanson Elle est Elle en 1979, ensuite, elle chante dans plusieurs formations notamment avec des anciens membres du groupe Les Enfants Terribles.

En 1985, elle écrit les textes sur les musiques métissées du compositeur malgache Roger Khâ, ensemble ils enregistrent un 45t Watcha Watcha , suivi d’une tournée à Madagascar, d’une autre en Bretagne et d’un rendez-vous hebdomadaire aux Trois Maillets à Paris.

En 2000 Pia rencontre Vincent Sarciaux, compositeur et pianiste. Durant 10 ans, ils créent un nouveau répertoire et se produisent sur plusieurs scènes à Rennes, à Saint-Malo et à Paris au Point-Virgule avec Sylvie Jourdan à l’accordéon et Vincent Courtay à la batterie. Pia signe le texte de la chanson Grosse, composée et interprétée par Sylvie Jourdan et son groupe Carbel.

En 2009, Pia enregistre l’album Femme du Monde dont elle a écrit les textes. Les musiques sont composées et arrangées par Philippe Lefèvre, Philippe Houdin et Vincent Sarciaux.

L’Idée de Génie d’Eugénie et Never à 9h à Nevers (musique Philippe Lefèvre), Fleur des Ondes (musique Eric Vincent), ses nouvelles chansons pour lesquelles elle est accompagnée par Philippe Lefèvre à la basse, Adrien Beauquier au piano, Jean-François Roger à la batterie, avec la complicité de Patrick Ozouf comédien et chanteur, en rockeur, en Milord ou en petit frère de Bourvil.

En 2012 Pia écrit le texte Sur un Air de Ressemblance sur une musique composée par son père. Elle interprète l’unique chanson qu’ils ont écrite ensemble à Rennes et à Dol-de-Bretagne au printemps 2013. Elle l’enregistrera prochainement sur un nouvel album et prépare sa rentrée parisienne en octobre 2014.




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http://memoirechante.wordpress.com/

J'ai la mémoire qui chante, site de Pierre Lavallée



"De la musique avant toute chose"
On peut,  dans une certaine mesure, considérer que les Baudelaire, Verlaine et Rimbaud sont les premiers chantres de l’histoire de la chanson francophone moderne. D’abord, par leur travail sur la musicalité des mots, et le format court de nombre de leurs textes, ils inventent, en quelque sorte tels des "musiciens sans guitare", un format qui deviendra celui de la chanson.
Dans leurs poèmes on trouve des textes dans lesquels le mot "chanson" figure ("chanson d’automne", ou "chanson d’après-midi". En outre, leur esthétique poétique fait la part belle à la musicalité et aux sonorités des mots, comme en témoigne la célèbre phrase de Verlaine : "De la musique avant toute chose".
Ces poètes ont été mis en chanson par de nombreux artistes – dont Léo Ferré pour n’en citer qu’un seul – parce que la musique était comme enveloppée dans le mots dont  ils ont usés.  Leur influence continue donc de marquer la chanson d’expression française actuelle.
Se souvenir des grandes chansons qui ont laissé leur marque dans l’histoire de la chanson d’expression française. Se souvenir aussi de textes poétiques qui sont, encore aujourd’hui, tellement inspirants! Voilà l’essentiel de la mission que nous poursuivons sur le site J’ai la mémoire qui chante" .
Pierre Lavallée

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http://dornac.over-blog.com/

La bloggueuse (dornac), à propos de son blog (Αχ Ελλάδα Σ'αγαπώ) :
*C'est un blog en hommage à la Grèce si riche et finalement si peu connue.
*Le pseudonyme dornac a déjà été utilisé par Paul Marsan qui photographia quelques grandes figures du XIXe siècle comme Paul Verlaine. Le choix de ce pseudonyme pour ce blog était un hommage au Sud-Ouest de la France et inconsciemment à ce photographe dont j'avais apprécié le travail.
D'autre part, ce blog n'a rien à voir avec le poète Jean Dornac, je ne suis pas poétesse, je publie juste des poèmes en ligne.


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http://www.andrevelter.com/som.htm

André Velter, poète, chroniqueur, essayiste, homme de radio.... surtout "voyageur", comme il se définit lui-même.



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http://faitmainproductions.wix.com/souleymane-diamanka

Poète peul bordelais qui pratique l'Art oratoire.
A publié un CD "L'hiver peul" et plusieurs ouvrages, dont "Ecrire à voix haute", en collaboration avec le linguiste Julien Barret




 Η Γαλλοφωνία στην Ελλάδα - La Francophonie en Grèce: Η Κέρκυρα θα τιμήσει τον Georges Moustaki: "'Ενας ...: ΦΙΛΟΙ ΤΟΥ ΙΔΡΎΜΑΤΟΣ ΜΝΗΜΗ ALBERT COHEN, ΚΕΡΚΥΡΑ AMIS DE LA FONDATION MÉMOIRE ALBERT COHEN, CORFOU FRIENDS OF THE FOUNDATION "MÉMOI...

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http://gabymonnet-ferreol.over-blog.com/

Gaby Ferréol, artiste peintre et poète

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http://www.pierrerabhi.org/blog/

Pierre Rabhi, poète, écrivain, agriculteur

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http://jurgasculpteur.blogspot.be/

Jurga, sculpteur

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http://atelier-artiste.pagesperso-orange.fr/fanny-ferre/index

Fanny Ferré, sculpteur

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http://www.theme-et-texte.eu/?p=90

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http://heloise-combes.blogspot.fr/2014/03/interstices.html

Héloïse Combes, artiste, auteur, chanteuse, poète


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http://espacecreationjeanlouis.blogspot.fr/2014/02/creations-poemes-de-jean-louis-garac.html

Jean-Louis Garac, poète

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http://dornac.over-blog.com/categorie-10916828.html


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http://allerauxessentiels.over-blog.com/

Martine Cros, poète et artiste peintre

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http://les-risques-du-journalisme.over-blog.com/

Site de Cristina Castello, poète et journaliste d'origine argentine

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http://www.espritsnomades.com/

Site consacré aux grands poètes

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http://poesiedanger.blogspot.fr/2014/02/vous-avez-oublie-que-dans-lunivers-il-y.html

André Chenet, poète

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 http://vakaloulis.wordpress.com/



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http://latelierdupoete.blogspot.fr/2014/03/etat-chronique-de-poesie-2139.html

Xavier Lainé, poète


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http://hacemess.centerblog.net/


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http://www.fonderiedart.com/

Fonderie d'art

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http://aragon-triolet.populus.org/

Site autour d'Elsa Triolet et Louis Aragon


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http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2014/03/07/hommage-a-melina/

Site consacré à la bonne chanson, musique


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http://faitmainproductions.wix.com/souleymane-diamanka#!__main_fr1

Souleymane Diamanka
Poète de l'art oratoire, d'origine peule

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http://www.poemas-del-alma.com/leon-felipe-credo.htm

Poètes de langue espagnole

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http://heloise-combes.blogspot.fr/2014/04/lair-du-temps.html?showComment=1397460244692#c2995735217620493370

Héloïse Combes, artiste, poète, chanteuse

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http://sophiechalmandrier.over-blog.fr/


http://artodyssey1.blogspot.pt/2014/04/sophie-chalmandrier.html

Sophie Chalmandier , artiste peintre

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