mercredi 25 mars 2020

Vidéos Patrick Ochs et ses musiciens



En complément de l'article que j'avais consacré à ce groupe et que vous pouvez retrouver

ICI



le 29 mai 2020

La version de cette chanson qu'Etienne Caselli/Vitté et moi avions écrite ensemble en 2004 je crois:Albert au milieu du pont (Ochs / Vitté). C'est une chanson que je chante depuis longtemps en public. Enfin, je veux dire quand je chante encore en public, c'est à dire quand ça sera à nouveau possible pour moi de transpirer devant du monde. C'est la reprise d'Etienne. Voici ce qu'il en dit :
"Voici le clip n'hésitez pas à partager commenter ou aimer si ça vous plait.
Spéciale dédicace à Patrick Ochs. Et plein de gros bisous à Michel Glasko Perso, Vincent Mondy, David Cérésa, Philippe Eliez, Gilles Puyfages, Eric Jaccard et Vincent Lamoure qui ont fait et font vivre ce titre.
Bises à tous"






Je vous chante encore une chanson inédite, seul avec ma guitare parfois un peu limité, sans Rue de la Muette. Ça s'appelle "Je ne comprends jamais rien". Je l'avais déjà jouée dans une version non définitive il y a quelques années mais les chansons évoluent, parfois lentement, dans mon cas. C'était encore une chanson, une histoire écrite pour un duo avec une voix féminine. Un homme et une femme dans une voiture. il l'a invitée à monter dans sa bagnole parce qu'elle courait seule sous la pluie dans les rues de Paris. Elle raconte une histoire assez traumatisante qui vient de lui arriver. Le type l'écoute. Ils roulent au milieu des embouteillages. Ils se regardent du coin de l'oeil. L'homme lui propose d'aller boire un verre pour la réconforter. La femme accepte. J'ai commencé à écrire cette histoire le soir des attentats du Bataclan. J'espère que ça vous plaira. Bonne soirée. N'hésitez pas à partager notre travail.

2 mai 2020






Toujours seul avec ma guitare sans Rue de la Muette. J'avais envie de vous faire découvrir quelques chansons inédites, puisque ça avait plu à plusieurs d'entre vous. Finalement, je me suis lancé dans une reprise de Christophe, disparu il y a quelques jours. J'ai redécouvert cette vieille chanson assez étrange. J'avoue que je n'en avais jamais vraiment écouté le texte de Jean-Michel Jarre sur la belle mélodie de Christophe. Je vais donc vous en offrir la énième reprise, à ma façon, sachant que je ne suis toujours pas devenu un as de la guitare. j'espère que ça vous plaira. Je vous présenterai peut-être quelques titres perso et inédits dans les jours qui viennent à bientôt. Faites attention à vous!

26 avril 2020






Le titre de cette nouvelle chanson c'est "Pas à pas". Toujours confiné seul avec ma guitare, j'ai un peu de mal, sans mes copains de Rue de la Muette.
Voici une chanson que j'ai encore peu montrée. C'est une exclu rien que pour vous. Au départ, ces chansons devaient être interprétées en duo avec une chanteuse et le groupe. Elles ont été écrites pour ça et je vous chante les deux parties, de cette histoire conçue comme une sorte de dialogue avec ma guitare. Ça raconte l'histoire d'une femme qui se fait suivre dans la rue par un type un peu bizarre et tordu. Elle a peur et se pose tout un tas de questions. L' histoire se passe dans la rue d'une grande ville. C'est un extrait de l'album Novembre que j'espère enregistrer un jour. N'hésitez pas à partager mon travail. Faites attention à vous. à bientôt. Patrick Ochs.

le 21 avril 2020








Une autre chanson, confiné seul avec ma guitare sans Rue de la Muette, ce qui pour moi est plutôt rare (pas d'être confiné seul- je m'habitue- mais plutôt de jouer de la guitare et de chanter sans mes copains du groupe) J'avais écrit cette chanson "Novembre" et une quinzaine d'autres il y a quelques années après les événements tragiques de Charlie et du Bataclan (il y avait beaucoup de duos avec des voix féminines) mais finalement je ne les ai pas enregistrées. Tout est dans le tiroir que je viens de rouvrir.
il y aura encore beaucoup de choses étonnantes, tragiques et magnifiques à se raconter, à vous chanter.
Si ça vous fait plaisir je vous en jouerai encore une ou deux autres dans les jours à venir.
Bon courage à nous tous face à l'adversité! à bientôt. Ne soyons pas trop sages quand même! Merci à toutes ces femmes et ces hommes qui s'occupent de nous au risque de leur vie. C'est pas la guerre. C'est une pandémie et les moins payées sont aux premières lignes.
bien sur, n'hésitez pas à partager. Patrick Ochs

le 14 avril 2020







Sanguine Paroles de Jacques Prévert musique de Henri Crolla. Vincent Lamoure à la guitare, Patrick Ochs au chant. Bonne soirée.





J avais déjà enregistré une petite vidéo de cette chanson "Novembre" vers la fin de l'été pour la préparation de notre album"les rendez-vous de novembre". Cette chanson parle du terrible 13 novembre 2015, le jour des attentats. Ce sera le thème de l'album. Quelques changements de texte dans cette version de 2017




Vous savez que nous serons en studio à la fin du mois de Mars? Avec d'anciennes chansons, de nouveaux arrangements, quelques inédits et mes copains de Rue de la muette. Gilles Puyfages à l'accordéon,Éric jaccard à la batterie et Vincent Mondy aux clarinettes et au saxophone. j'ai hâte d'y être enfin. l'un de mes projets de 2017 qui se réalise enfin. tout est lourd , compliqué et je me sens très fatigué, pour différentes raisons.
Je pense que cet album compilation s'appellera "Partenaires". Est-ce un bon titre? j'en sais rien.
Là, je répète seul et travaille de vieux titres sur ma voix actuelle.. Parce que la voix, ça change, même si les chansons évoluent avec le temps et la maturité.
En cadeau cet inédit : "Ce qu'on dit de toi". Je l'avais écrit il y a quelques années, pour des voix adolescentes. Je l'ai adapté, bien sur.
Une chanson toute simple et sans prétentions:
Tout ce mal qu'on peut faire parfois en colportant des rumeurs... à très vite. je vais vous donner des nouvelles. amitiés.





La folle complainte de Charles Trenet. Patrick Ochs au chant, Vincent Lamoure à la guitare. Pour vous.













lundi 23 mars 2020

Le menuisier amoureux, de Cristian Ronsmans





Le menuisier amoureux.

Un menuisier bien charpenté, de corps bien bâti,
Goûtait au repos bien mérité d’un Boaz endormi.

Voilà qui était, il faut le dire, pour le moins étonnant
De voir cet homme dont la réputation de battant
N’était plus à faire, ainsi tétanisé. Était-il donc paralysé,
De n’avoir pu combler cette baie tant convoitée,
Brèche dans la sympathie de la belle enfin ouverte?

Alanguie dans une pose, ma foi, fort bien découverte.

Y avait-il donc du mou dans la butée souple,
Plongeant le menuisier d’autant plus dans le trouble
Qu’il se sentait de moins en moins à l’aise
Dans ce face à face avec la belle mortaise?

Hésitait-il à enfoncer, sans scrupules , le tenon,
Sidéré devant l’incroyable beauté du téton ?

Il se peut. Mais le menuisier est ferme et déterminé.
Et farouchement, sans plus longtemps barguigner,
Besognant, sans relâche, son remarquable ouvrage,
Assuré de gagner la voie de fait du compagnonnage,
D’un coup, d’un seul, enfoncé dans le chambranle,
D’une foi sans faille et que rien n’ébranle,
Bandant son arc de décharge, maintenant la paumelle,
Il rive son clou à mortaise la belle !

Voici donc contée sur un air de chaconne,
La belle histoire des amants de Crémone.

Pour une fois je signe.

CR

© le 10 mars 2020







© photo Cristian Ronsmans