dimanche 8 novembre 2015

Autoportrait à l'Aimée, de Martine Cros, Poésie

‘Autoportrait à l’aimée’, recueil inédit paru aux Éditions Qazaq aujourd’hui
Couverture Autoportrait finale
Il y a deux mois Jean-Claude Goiri, éditeur du Festival Permanent des Mots, introduisit Martine Cros chez nous, les Cosaques des Frontières. Elle a déjà participé au blog avec deux textes. Dès le début, elle exprimait le désir de publier aux Éditions QazaQ son recueil qui paraît aujourd’hui sous le titre : “Autoportrait à l’aimée”. Il va sans dire que j’ai accepté sans hésitation. J’espère que vous ferez un très bon accueil à cette merveilleuse poésie.
Son thème :
« L’aimée. Qui est-elle ? Est-ce la femme en elle qu’elle doit reconnaître, est-ce l’autre, l’être aimé, ou, encore, est-ce la Poésie, la Muse, pour laquelle elle cherche une terre promise? »
Spécialement pour vous, lecteurs, Martine accompagne son livre ici avec quelques mots :
« Sous le masque de bandit dont je me suis revêtu, sous tous les questionnements qui inondent mon visage, sous les fleurs que j’ai encore un peu dans les yeux, dans ce Valjean qui m’écartèle entre agir et penser mais qui m’anime à jamais, dans le portrait de l’âme que me renvoie l’écrire, je rêve de calme et d’art, et d’amour. C’est un portrait où j’oblique encore un peu les yeux, recherchant l’horizon pour sonder l’infini de tous les portraits qui me traversent, qui me sont des esquisses, que seul l’amour pourrait parachever . Un portrait fane, un autre émane. Celui-ci sera gravé sur la toile -!- mais ce n’est peut-être qu’une apparition. Une photographie à un moment donné. Avec ses failles et sa passion...
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Martine Cros
Couverture Autoportrait finale
Il y a deux mois Jean-Claude Goiri, éditeur du Festival Permanent des Mots, introduisit Martine Cros chez nous, les Cosaques des Frontières. Elle a déjà participé au blog avec deux textes. Dès le début, elle exprimait le désir de publier aux Éditions QazaQ son recueil qui paraît aujourd’hui sous le titre : “Autoportrait à l’aimée ". Il va sans dire que j’ai accepté sans hésitation. J’espère que vous ferez un très bon accueil à cette merveilleuse poésie.
Son thème :
« L’aimée. Qui est-elle ? Est-ce la femme en elle qu’elle doit reconnaître, est-ce l’autre, l’être aimé, ou, encore, est-ce la Poésie, la Muse, pour laquelle elle cherche une terre promise? »
Spécialement pour vous, lecteurs, Martine accompagne son livre ici avec quelques mots :
« Sous le masque de bandit dont je me suis revêtu, sous tous les questionnements qui inondent mon visage, sous les fleurs que j’ai encore un peu dans les yeux, dans ce Valjean qui m’écartèle entre agir et penser mais qui m’anime à jamais, dans le portrait de l’âme que me renvoie l’écrire, je rêve de calme et d’art, et d’amour. C’est un portrait où j’oblique encore un peu les yeux, recherchant l’horizon pour sonder l’infini de tous les portraits qui me traversent, qui me sont des esquisses, que seul l’amour pourrait parachever . Un portrait fane, un autre émane. Celui-ci sera gravé sur la toile -!- mais ce n’est peut-être qu’une apparition. Une photographie à un moment donné. Avec ses failles et sa passion.
Tout un temps énigmatique soulève son voile, à peindre ces autoportraits.
Dans une lettre à Verlaine, Mallarmé considère que « le seul devoir du poëte » est de proposer « l’explication orphique de la Terre » ( 16/11/1885).
Le seul devoir que j’apprécie est peut-être celui-là : écrire les levers de voiles du poète.
Ce recueil, je ne l’attendais pas. Il est venu à moi sans que je le sache.
Je l’avais dans mes mains, mais ce sont Jean-Claude Goiri et Jan Doets qui, les yeux dans leurs coeurs, l’ont ouvert, lu, et accueilli, avec tant de délicatesse. Je les remercie infiniment : de donner l’opportunité.
Et plus vite que je n’ai pu l’imaginer, il m’a été donné de la partager avec vous. Vous, amis des réseaux, qui êtes pour beaucoup dans cette réalisation, qui avez partagé mes poèmes, sachez que sous les mots, entre les blancs, vous êtes là, amis, mère, fils, aimées, muses, et je vous offre toute ma gratitude à l’orée de publier ce minois à l’émoi. »
N’hésitez pas à commander ce livre magnifique de Martine, en poursuivant avidement vos achats parmi les dix-sept livres, déjà, du catalogue des Éditions QazaQ qui ont besoin de votre coup de pouce ! Voici les liens :
Autoportrait à l’aimée : http://www.qazaq.fr/pages/martine-cros/
Tous les livres et auteurs: http://www.qazaq.fr/livres-et-auteurs/
Martine Cros 
Bonne lecture !
Jan Doets
Éditeur
http://www.qazaq.fr/pages/martine-cros/



3 commentaires:

  1. Merci Martine Cros qui savez sans ostentation, mais sans fausse modestie, sans fragilité excessive, mais sans agressivité, sans pudeur impudique, mais sans forfanterie narcissique, avec beaucoup de talent, au service de votre compréhension de l'autre qui la partage avec vous, avec donc ce sens du partage, vous Martine Cros qui savez nous donner à voir, lire et entendre la musique de votre sensibilité. Laquelle dont le particularisme dans son originalité touche à l'Universel. C.R.

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  2. Merci infiniment, Satine Françoise, et cher C.R., adorés....pour vos témoignages d'amitié, vraie, pure, sans artifice. Déjà, partager, c'est le gage que le poème puisse toucher le coeur de quelqu'un d'autre, un autre qui bat en moi fort, oui. Tous les autres et nous sommes le monde! Merci encore!
    '''L'amour ne détruit pas l'altérité, il l'intensifie au contraire, mais en la transformant (...) L'amour implique une certaine altérité, non pas une altérité de l'ordre du lui, qui est exclusion, mais une altérité de l'ordre de toi, qui est réciprocité de présence.''' G. Madiner, Conscience et amour (Foulq.-St-Jean 1962)........

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  3. Et merci à toi Martine ! D'abord pour ce bel" Autoportrait à l'aimée", et pour cette citation qui exprime si bien ce que je ressens moi-même. Et oui, "Tous les autres et nous sommes le monde" !
    Puissent nos poèmes toucher le coeur de quelques lecteurs, et contribuer à embellir un peu le monde...sinon le transformer.

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