Ce matin, j'avance dans le jardin guidée par les senteurs de violettes, de narcisses du poète, du coucou humble et lumineux. Les mésanges bleues s'activent à construire leur nid dans la muraille, les merles me saluent de leurs sifflements moqueurs. J'ouvre grands mes poumons... Respirer respirer la lumière du soleil et le bleu pâle d'un ciel zébré de quelques voiles blancs. Je te sais là, tout près de moi comme une vague chaude qui traverse l'horizon.
fruban
ici et maintenant
© photo fruban |
Ah pouvoir respirer les parfums du jardin par ces temps de confinement relèvent du privilège.Je m'en réjouis pour toi qui exprime si bien ce sentiment romantique et poétique. merci Françoise. CR
RépondreSupprimerOui, c'est un privilège et je le dis chaque jour. Cependant,le confinement reste très pénible pour de nombreuses raisons... Je ne sais si je suis lyrique et romantique,je suis moi,c'est tout !Depuis toujours ou presque la Nature m'habite, m'accueille,m'inspire.J'ai aimé la ville pourtant.
SupprimerDouce journée Françoise, j'ai dans mon mini jardin, les fleurs dont Tu parles! oui, c'est un vrai bonheur à les regarder en pensant à Ceux que l'on aime ! Je T'embrasse.
RépondreSupprimerEdith
Merci Edith pour ton passage ici et pour tes mots qui me font chaud au coeur ! Je t'embrasse
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