Que voulez-vous la porte était gardée
Que voulez-vous nous étions enfermés
Que voulez-vous la rue était barrée
Que voulez-vous la ville était matée
Que voulez vous elle était affamée
Que voulez-vous nous étions désarmés
Que voulez-vous la nuit était tombée
Que voulez-vous nous nous sommes aimés.
Paul Eluard
in Poésie et Vérité, 1942
© PICASSO Pablo - Portrait de Paul Éluard. 1956.
Merci chère Françoise de ce texte de Paul Eluard qui "remet les choses en place".
RépondreSupprimerJe ne le commenterai pas ici car je ne veux pas en ces temps troublés où il faut faire très attention aux susceptibilités des uns et des autres, au risque de se faire lyncher.
Aussi me permets-tu de le publier sur mon mur en citant ton nom comme donatrice ce qui fera de la pub pour ton magnifique blog?
Je me sentirai plus à l'aise sur mon propre mur car j'en suis le responsable.
Bises. Cristian
Merci beaucoup Cristian, mais ici tu peux t'exprimer sans aucun doute mieux que sur Facebook.
RépondreSupprimerJe te remercie Françoise et tu as raison. Du reste j'ai réfléchi et ne publierai pas mon sujet sur Facebook.
RépondreSupprimerJe pense d'ailleurs à ne plus rien oublier non pas parce qu'on me porterait la contradiction . Mais parce que il se trouve l'un ou l'autre qui sans argumenter n'hésite pas à répondre à côté de la plaque avec pour seul but de me titiller pour ne pas dire plus
Je t'embrasse Christian