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Pétales rouge sang
auréoles de neige
passion et glace mêlées
je lui donnai ton prénom
Depuis sous le vent la pluie
et le soleil de plomb
triomphante elle est là __ Eternelle
comme toi en mon coeur
A chaque saison renouvelée
quand mon âme chavire
je vois ton sourire
je vois ton sourire
Présence plus puissante
que le manque et l'absence
En cet après-midi d'automne
caressée par un souffle chaud
elle me parle de toi
des vagues bleues en tes rêves
Simple et fragile d'apparence
plus forte qu'Eole __ Symbole
d'un amour de novembre
que nourrissent les saisons
d'un amour de novembre
que nourrissent les saisons
Ensemble au-delà de l'Achéron
Elle porte ton prénom
FR
le 19 octobre 2014
le 19 octobre 2014
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in, Chorégraphie de cendres (2017)
éditions épingle à nourrice
in, Chorégraphie de cendres (2017)
éditions épingle à nourrice
Les épines de la rose du jardin sont inoffensives. Si tant est que certaines pourraient lui ressembler ou se substituer à elle dans une infinie et douce duplicité, nous ne pourrions que souhaiter de la voir vivre, au pire; que l'espace d'un matin!
RépondreSupprimerCristian
Cristian, je reconnais bien là ton humour malicieux.... et comme d'habitude, réaliste et lucide !
RépondreSupprimer"La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion, et chaque épine une réalité" (Musset)
le beau sourire de la rose d'automne résistante, les épines sont surmontées encore de quelques fleurs, merci Françoise, pour cette poésie;merci pour cette rose qui parle de ton étoile. Irène
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