Pluies torrentielles, ciel tourmenté, le Soleil se cache pour pleurer. Et les poètes, la tête entre les mains, le coeur écorché vif, ne trouvent que mots noirs. Plus envie de chanter la Beauté et l'Amour, quand ici et là-bas, tout n'est que ruines et cendres froides. La Nature prend le deuil et refuse le ciel bleu et la mer d'huile. Humain, trop humain.
fruban
orages du 14 août
© photo fruban
Ma chère Françoise, même dans la tristesse et l'amertume,c'est toujours un bonheur de te lire dans tes textes écrits à l'encre de ton cœur.
RépondreSupprimerMerci.
Cristian
Merci mon cher Cristian ! Ne m'en veux pas si je tarde un peu à répondre à tes commentaires qui me font un immense plaisir. Il me faut être sur l'ordi et je n'y suis pas très souvent.
SupprimerPas de poème ces derniers temps.... ça reviendra peut-être !
T'inquiète, je ne trépigne pas d'impatience et je ne me tape pas le front sur le mur.😂
SupprimerJe n'écris que parceque j'aime ce que tu proposes et n'attends pas nécessairement de réponse.
Pour les poèmes, laisse faire ça reviendra tout seul quand tu le sentiras. Souvent tu le sais c'est quand on ne s'y attend pas.
Bises